Logiciel libre, standards ouverts et interopérabilité à l'Assemblée nationale et au Sénat
Par Jean-Christophe Becquet :: Logiciel libre et administrations
Lorsque nos élus débatent du logiciel libre, des standards ouverts et de l'interopérabilité.
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Lorsque nos élus débatent du logiciel libre, des standards ouverts et de l'interopérabilité.
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À armes égales, rapport remis au Premier Ministre en octobre 2006 par le député Bernard Carayon.
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Pour une administration électronique citoyenne, rapport de Thierry Carcenac, député et président du Conseil général du Tarn sur la modernisation de l'Administration électronique remis au Premier Ministre le 19 Avril 2001.
Enfin, et cela est particulièrement important dans une utilisation gouvernementale, le caractère ouvert et public du code source des logiciels libres permet d'en améliorer la pérennité et la sécurité.
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Pour comprendre le combat qui se joue autour des formats bureautiques, voir notamment par ordre chronologique :
Le Référentiel Général d'Interopérabilité initié en 2006 par la DGME (Direction Générale de la Modernisation de l'État, au sein du Ministère de l'économie, des finances et de l'industrie) contient un ensemble de règles qui devront être partagées entre tous les acteurs de l'administration électronique pour que les services soient interopérables.
Par Jean-Christophe Becquet :: Logiciel libre et administrations
Voici ce que l'on pouvait lire sur la page d'accueil du sommet des directeurs gouvernementaux de l'information 2006 (le site n'est plus accessible) :
Cette année, le thème central du sommet est l'adoption des standards ouverts.
Les standards ouverts seront d'un grand apport pour encourager l'innovation au sein des gouvernements et au-delà. Les standards ouverts minimisent les barrières à l'entrée, garantissent une concurrence pleine, non faussée et ouverte, et obligent les éditeurs à rivaliser sur la qualité, la conception, le service et la performance, au lieu de le faire sur la conception de formats de fichier incompatibles.
Pour faire court, les standards ouverts améliorent tout à la fois le bien-être du gouvernement, du marché et des consommateurs.
La nature non propriétaire de ces standards signifie que tout un chacun est libre de les utiliser. Cette ouverture s'est avérée essentielle pour leur adoption à grande échelle et a abouti en dernier lieu à la création des logiciels, des services et des modèles d'affaires basés sur Internet et le Web.
standards ouverts, on le sait, sont des enjeux phénoménaux. Celui qui contrôle un format tient les utilisateurs qui l'utilisent dans sa main.
D'où l'intérêt à adopter des standards ouverts.
Par Jean-Christophe Becquet :: Logiciel libre et administrations
L’économie de l’immatériel, rapport remis au ministre de l’Économie, des finances et de l’industrie le 4 novembre 2006 par Maurice Levy, président du groupe Publicis et Jean-Pierre Jouyet, chef du Service de l’Inspection générale des Finances.
Par Jean-Christophe Becquet :: Logiciel libre et administrations
Une liste de liens vers les articles de LinuxFr concernant l'expansion, l'adoption ou les migrations en faveur de GNU/Linux ou des logiciels libres pour les villes, les administrations, ou les universités de différents pays (sur archive.org). Cette page était maintenue par Thomas Petazzoni de 2003 à 2010. Merci à lui pour ce travail de mémoire qui prouve une nouvelle fois qu'il n'est pas nécessaire d'être développeur pour apporter sa contribution à la communauté du libre.
On trouve à présent une Liste des adoptants de GNU/Linux sur Wikipédia.